Pour vous propriétaire-vendeur, la promesse d’une somme conséquente à toucher à la vente d’un appartement à Mulhouse devrait vous rassurer sur les quelques dépenses que vous devrez entreprendre à la mise en vente du bien. Certaines sont obligatoires pour faciliter la transaction tandis que d’autres peuvent être facultatives selon les situations. Découvrez-les.
Vos dépenses obligatoires : le coût des diagnostics techniques et celui des travaux de mise en valeur du bien
Aucun propriétaire-vendeur ne peut se soustraire à la réalisation des diagnostics techniques obligatoires sur son bien à vendre. En tant que tel, le coût des prestations du diagnostiqueur vous reviendra également dans sa totalité. Plus l’appartement est ancien, plus la liste d’examens à y entreprendre sera longue et les prestations du professionnel seront calculées en conséquence.
Par ailleurs, les travaux de mise en valeur du bien peuvent être effectués en réponse à ces diagnostics, notamment pour remédier à un DPE médiocre. D’autres chantiers peuvent s’y ajouter selon l’état du bien et son potentiel vendeur face aux exigences des acheteurs. Quoi qu’il en soit, recourir à l’aide d’un professionnel dans la définition des travaux prioritaires et rentables est de mise.
Les dépenses facultatives : les frais d’agence et l’impôt sur la plus-value
Lors d’une vente d’appartement à Mulhouse, les frais d’agence n’auront pas lieu d’être si vous, propriétaire-vendeur, n’avez mandaté aucun professionnel pour s’occuper de votre projet. Cela signifie que vous aurez entrepris la vente entre particuliers. Mais dans le cas contraire, les honoraires du professionnel doivent être pris en compte dans votre projet de vente si, toutefois, vous décidez de les prendre en charge car d’autres options s’offrent à vous. Effectivement, vous pouvez vous en décharger entièrement en les allouant à votre acquéreur ou en régler la moitié en les partageant avec lui. Précisez cependant votre décision dans l’annonce immobilière.
Pour ce qui est de l’impôt sur la plus-value, elle n’est applicable que dans la vente d’une résidence secondaire, vous ayant appartenu pendant moins de 30 ans et qui vous a permis de faire un profit entre son achat et sa revente.