La crise du Covid n’a pas été sans conséquence sur le secteur immobilier.

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La crise du Covid n’a pas été sans conséquence sur le secteur immobilier.

Au terme de ce premier semestre, 

1.     82 % des Français voient l’immobilier comme un investissement sûr

Malgré la crise sanitaire, la pierre a toujours autant la cote en France. Une grande majorité des Français, 82 %, considère ainsi l’immobilier comme un placement sûr et rentable. Un investissement qui est par ailleurs aujourd’hui largement plus plébiscité que la bourse, puisque seuls 7 % des Français se déclarent attirés par les investissements boursiers.

2.     34 % des acheteurs pensent que le nombre d’offres va diminuer

Et pour cause : lors que le nombre d’acheteurs augmente, la quantité de biens disponibles sur le marché diminue. On compte ainsi aujourd’hui 10 acheteurs pour le même bien. 34 % des acquéreurs potentiels pensent que le manque de logements va s’aggraver dans les prochains mois et les prochaines années.

3.      44 % des particuliers estiment que c’est le bon moment pour acheter

Même si la période actuelle pourrait être jugée comme peu propice puisqu’incertaine quant à la fin de la pandémie, 44 % des particuliers pensent que la période actuelle est propice à l’achat d’un bien immobilier. Et ce, malgré la hausse des prix, de la rareté des biens et de la faible marge de négociation.

4.      3,8 % : la marge de négociation du prix affiché

Dans un marché immobilier tendu, les prix se négocient peu. La raison ? Les propriétaires veulent à tout prix vendre leur bien au meilleur tarif et la forte demande les incitent à moins négocier. Que ce soit pour les appartements ou les maisons, la marge de négociation est ainsi en moyenne de 3,8 % du prix de vente affiché. Elle varie bien évidemment selon les régions.